O o O O o O O o O O o
Paradoxe des temps modernes
De l’informatisation
Des prises de têtes, des cernes
Allons y d’amour nous mourons
Menteuse, le voila ton rôle
Planète qui à beau tourné
Bien trop vite ce n’est pas drôle
Toi qui fuie dans l’eau versée
Prend tes pétales d’ironie
Broie les en petit tas de cendre
Tu aspires, ensuite tu cries
Allonge toi, je vais t’apprendre
C’est comme de ne pas appuyer
Sur ce bouton « attention »
Bien sur tout le monde le fait
Moi je le cherche, comme un con
Mais j’offre aujourd’hui une trêve
Et j’éviterai de te dire
« T’es un briseuse de rêves »
De toute façon j’ai vu pire
Allume petit flammèche
Mon ego pour que j’aille mieux
Va donc agrandir cette brèche
Où je m’enfonce seul, à deux