dimanche 6 décembre 2009

Rêves du papillon

O o O O o O O o O O o

Des insignifiants aux couleurs
Par de si beaux décors trop peu de temps
A ces vues qui laissent un goût de sucre
A cette imagination sans dons
Méli-mélo d’amour qui ne peut s’épanouir

Si les géants voyaient l’infime
Il leur soufflerait sans mots…
D’ancrer la joie dans leur peau
Et si le battement d’aile créait la tornade
Ces jours ne seraient pas si ternes, si tristes, si fades…