mercredi 5 décembre 2012
Un arrêt dans les ports
O o O O o O O o O O o
De ton bateau, tu accèdes aux monde inhumains
Si uniques, que tu es un étranger dans tous
Si profonds, qu’ils te sauvent d’habitudes nauséabondes
Tu y dérobes les chants de pouvoir
Car chaque port vit entre tes mains
De ton nuage tu manipules ces gens comme des insectes
Dans une maison close, langoureuse, où les princesses pleurent
Elles cascadent de larmes leurs rêves
Semblables à des perles fissurées
Et s’étranglent avec des doigts, dont les griffes
Sont les conseils de Dieu