O o O O o O O o O O o
Ô ma douce, tu te promènes donc ainsi
Parmi les lumières de la ville déchue
Rues insalubres, dans ton manteau est enfouie
La flamme passée, de ce en quoi tu as cru
Et nos vies s'effritent tu en as conscience
C'est nos corps qui partent, lentement en poussière...
Tu me cherches en vain et sans arrêt j'y pense
Au loin je vis, de ton parfum dans l'atmosphère